Squash TM 2.0 est disponible en téléchargement. Cette version propose une toute nouvelle interface, plus moderne et basée sur la technologie Angular. Au-delà de la refonte graphique, Squash TM 2.0 comporte des évolutions ergonomiques et des améliorations sur les fonctionnalités existantes. Vous devriez néanmoins vous y retrouver rapidement, et garder vos habitudes de travail, car la philosophie de Squash reste la même, et l'ergonomie est encore plus intuitive qu'avant. Découvrez-les principales nouveautés de Squash TM 2.0 ci-dessous. Pour la liste complète des évolutions et corrections, vous pouvez consulter la release note de la version. Navigation améliorée Système d’ancres au sein des pages de consultation Au sein des objets, la navigation se fait via un système d’ancres qui permettent de naviguer vers un bloc au sein de la page ou vers une nouvelle page. Lors de la navigation d’un objet à un autre, la dernière ancre consultée s’affiche, facilitant ainsi la consultation en masse de données. Certaines ancres contiennent un indicateur chiffré qui donne rapidement à l’utilisateur des informations sur l’objet consulté (pour une exigence, visualisation du nombre de cas de test associés, d’exigences liées, d’anomalies connues). Accès à un objet via son URL Il est désormais possible d’accéder directement à un objet via son URL. On peut ainsi mettre en favori un dossier, un tableau de bord ou encore un plan d’exécution pour y accéder facilement. État des tables conservé lors de la navigation vers une page de niveau 2 Lors de la navigation vers une page de second niveau d’un objet, l’état des tables est conservé (pagination, tri et filtres). Ainsi, lorsque l’utilisateur navigue vers une exécution depuis un plan d’exécution, au retour sur celui-ci, il reviendra sur la bonne page, tout en retrouvant ses filtres et tris. Visualisation rapide de l’état du référentiel Dans les bibliothèques, des icônes au niveau de chaque objet permettent d'avoir une vision globale de l'état du référentiel. Depuis la bibliothèque des cas de test, l’utilisateur peut ainsi visualiser et identifier rapidement les cas de test selon leur importance, leur nature, leur statut, la présence de pas de test et l’association à des exigences. Ces informations sont également facilement accessibles au sein des pages de consultation : Les attributs principaux s’affichent en permanence dans des capsules en haut de la page Le contenu et les associations peuvent être visualisés via les indicateurs chiffrés au niveau des ancres Association entre objets plus rapide et intuitive via glisser-déposer L’association entre objets (exigences-cas de test, ajout de cas de test à un plan d’exécution, etc.) est désormais plus rapide et intuitive. Elle se fait directement depuis la page de consultation de l’objet par glisser-déposer et non plus via une interface d’association. De manière générale, le glisser-déposer est beaucoup utilisé dans cette nouvelle version pour fluidifier et rendre plus intuitives certaines actions : ajout de pièces jointes, réorganisation d’objets, création d’éléments de reporting... Nouvelle interface de gestion des pas de test et des pas d’exécution Les prérequis et pas de test sont désormais groupés au sein d’une même page. Les pas de test s’affichent dans des blocs distincts, ce qui facilite leur lisibilité et permet d’optimiser l’espace dédié à la description de l’étape. Dans le cas des appels de cas de test, il est désormais possible de visualiser les étapes des cas de test appelés sans avoir à naviguer vers une nouvelle page. Cet affichage est repris au niveau des exécutions pour mieux visualiser les statuts des étapes et ainsi faciliter l’exécution des tests depuis cette page. Recherche plus ergonomique et dynamique La recherche a été revue pour être plus ergonomique. Les critères et résultats de recherche s’affichent désormais sur une seule page. Les résultats s’actualisent dynamiquement, l’utilisateur peut ainsi visualiser les résultats de sa recherche au fur et à mesure qu’il ajoute des critères. Le périmètre de recherche a également été élargi, il est maintenant possible d’effectuer une recherche à partir d’une sélection dans la bibliothèque (projet, dossier, ensemble d’objets). Lors de l’accès à la recherche via les tableaux de bord par défaut, les critères de recherche sont désormais préremplis, permettant à l’utilisateur d’affiner ou d'élargir sa recherche. Nouvelle interface de création de graphiques personnalisés L’interface de création de graphiques personnalisés a été complètement refondue et simplifiée. Elle permet notamment à l’utilisateur de visualiser l’évolution de son graphique au fur et à mesure de sa construction. La création de graphique se fait désormais depuis un unique écran et n’a plus d’ordre imposé. Cet écran se divise en trois parties : A gauche : les éléments permettant de construire le graphique (sélection du périmètre, du type de graphique, gestion des axes et des filtres) A droite : la liste des attributs alimentant les axes et filtres du graphique par glisser-déposer Au centre : l’aperçu du graphique qui s’affiche dès lors que les axes sont alimentés et qui évolue dynamiquement dès qu’un élément du graphique est modifié Organisation de l’espace administration repensée L’organisation de l’espace administration a été repensée pour faciliter la navigation et l’accès à ses différents éléments. Certains éléments similaires ont ainsi été regroupés dans des sous-menus : champs et listes personnalisés dans un même sous-menu, bugtrackers et serveurs d’automatisation dans un même sous-menu, etc. Ces sous-menus sont accessibles directement depuis la barre de navigation principale. L’espace administration dispose quant à lui de sa propre barre de navigation avec ces mêmes sous-menus. Au sein de cet espace, la navigation entre les objets est également plus fluide : le passage de la page de configuration d’un projet à un autre se fait en un seul clic. Vous pouvez essayer dès à présent Squash TM via notre de démo en ligne en cliquant sur le bouton ci-dessous :

La version 2.1 de Squash TM est disponible en téléchargement. Cette version ajoute le support de l’authentification à Github par token et propose de nouvelles fonctionnalités visant à améliorer la configuration et la gestion des synchronisations Xsquash4Jira. Découvrez-les principales nouveautés de Squash TM 2.1 ci-dessous. Pour la liste complète des évolutions et corrections, vous pouvez consulter la release note de la version. Support de l’authentification à Github par jeton Pour prendre en compte la nouvelle politique d’authentification à Github par jeton, un nouveau protocole d’authentification est disponible sur la page de configuration d’un serveur de partage de code source. Il permet de renseigner un jeton qui sera utilisé pour transmettre des cas de test sur un dépôt de code source. L’authentification par login/mot de passe reste également disponible Amélioration de l’administration et de la gestion des synchronisations Xsquash4Jira Prise en compte de la configuration de Xsquash4Jira dans les modèles de projet Il est désormais possible de définir la configuration du plugin Xsquash4Jira au niveau d’un modèle de projet. À la création d’un projet à partir d’un modèle, une nouvelle option permet de reprendre la configuration de Xsquash4Jira du modèle au niveau du projet. L’utilisateur peut alors choisir de : Lier la configuration de Xsquash4Jira du projet avec celle du modèle : la configuration du plugin est gérée au niveau du modèle, en dehors des synchronisations. Toutes les modifications effectuées au niveau du modèle seront répercutées dans les projets liés. Ne pas lier la configuration de Xsquash4Jira du projet avec celle du modèle : la configuration du plugin au niveau du projet peut évoluer indépendamment de celle du modèle. Les modifications effectuées au niveau du modèle n'impacteront pas la configuration de Xsquash4Jira des projets liés au modèle. Simulation d’une synchronisation Xsquash4Jira avant son ajout Une nouvelle option pour simuler une synchronisation Xsquash4Jira avant de l’ajouter est disponible. Elle permet de visualiser le nombre et le détail des tickets qu’elle contient pour s’assurer que cela correspond bien au périmètre à synchroniser. Affichage dans la bibliothèque des exigences du statut de synchronisation du ticket Jira associé Dans la bibliothèque des exigences, une nouvelle icône au niveau de chaque exigence synchronisée indique le statut de synchronisation du ticket Jira associé. En fonction de la couleur de l’icône, l’utilisateur peut savoir si le ticket Jira est toujours synchronisé, s’il est désynchronisé (parce qu’il n’entre plus dans le périmètre de synchronisation) ou s’il a été supprimé ou déplacé dans Jira. Cette information est également présente dans les informations d’une exigence. Ce code couleur s’applique également aux dossiers de synchronisation et permet à l’utilisateur de voir rapidement si la synchronisation est en succès, en échec, ou si elle contient des tickets qui ne sont plus synchronisés. Prise en compte des cas de test BDD dans les cahiers de test éditables Les cas de test au format BDD sont désormais pris en compte dans les cahiers de test au format éditable.

Vidéo en anglais sous-titrée en français

Ces nouvelles versions fournissent à l’automaticien qui écrit des tests en Java une API (implémentée dans la Java Param Library) permettant d’accéder aux valeurs de paramètres (jeu de données, champ personnalisé) définis dans Squash TM. Pour plus d’information, voir ce lien : https://autom-devops-fr.doc.squashtest.com/2021-09/autom/pilotFromSquash.html#3-utilisation-de-parametres-squash-tm_3. Squash AUTOM et Squash DEVOPS supportent désormais la définition de crochets (« hooks ») qui permettent de configurer des actions personnalisées à effectuer avant et/ou après une action donnée lancée par l’orchestrateur Squash. Ces crochets peuvent être définis soit dans un fichier PEaC pour être appliqués au workflow correspondant, ou dans un fichier de configuration d’un provider (composant réalisant des actions pilotées par l’orchestrateur) pour être appliqués à tous les workflows. Ces crochets sont très polyvalents. Des cas d’utilisation sont : Attacher des fichiers générés autres que ceux habituellement créés par la technologie de test Par exemple, Squash AUTOM et Squash DEVOPS gèrent les fichiers au format Surefire créés par des tests JUnit, mais si un automaticien crée des screenshots JPEG dans des tests JUnit, ils seront ignorés par défaut. Il est désormais possible de créer un crochet pour indiquer à l’orchestrateur de récupérer aussi ces fichiers JPEG et les importer dans Squash TM. Démarrer et arrêter un service nécessaire pour les tests Auditer le début et la fin de l’exécution des tests … Pour plus d’information, voir ce lien : https://opentestfactory.gitlab.io/orchestrator/guides/hooks/. L'ensemble des composants de Squash AUTOM et ceux de Squash DEVOPS sont téléchargeables depuis notre page Téléchargements. Pour rappel, les versions de Squash AUTOM et Squash DEVOPS sont mensuelles (sauf août). La version 2021-10 sera disponible mi-octobre. Elle permettra aux utilisateurs de Squash DEVOPS de ne plus avoir un orchestrateur qui tourne en permanence, ils pourront le lancer et l’arrêter dans une étape du pipeline d’intégration continue. Chaque version est constituée d’un ensemble de composants ayant leurs propres numéros de version, ceux-ci sont visibles sur notre page Téléchargements ou dans les Release notes par version : https://autom-devops-fr.doc.squashtest.com/2021-09/release-note/release-note-by-version.html.

Le 19 octobre dernier, près de 80 personnes étaient présentes pour assister au Club Utilisateurs Squash. Les échanges ont été nombreux et auront permis d'apporter des réponses à vos questions qui concernaient : le retour sur les dernières releases de Squash TM, Squash AUTOM et Squash DEVOPS la présentation de la roadmap des nouveautés de Squash telles que l'intégration de GitLab une discussion autour des fonctionnalités futures de la suite Squash Grâce à un atelier animé par nos experts, l'après-midi a aussi permis de découvrir OTF, l'initiative open source visant à simplifier la planification de tests automatisés, leur exécution, la publication de leurs résultats et leur intégration dans un pipeline de CI/CD. Le Club Utilisateurs Squash était hébergé par le Club Qualité Logicielle qui durait sur l'ensemble de la journée et qui a mis sur le devant de la scène des présentations de GitLab, Henix, la CNAF et Mozilla. Voir les présentations du Club Qualité Logicielle

Pour vous aider à travailler avec la base de données de Squash TM, vous trouverez ici le Modèle Physique de Données (MPD) de la version 1.20.x, utilisant les conventions UML. Pour des raisons de lisibilité, il s'agit d'une version simplifiée, où seules les tables et les liens significatifs sont représentés. Mais il vous aidera dans votre compréhension de la base de données Squash TM et son fonctionnement, quelle que soit la version de Squash. Pour rappel, un MPD est une représentation graphique des tables d'une base de données, et des liens entre ces tables. Ce MPD est disponible en format PNG et en format PDF, sur une ou 6 pages pour des raisons de commodité de visualisation à l'écran ou pour faciliter l'impression, suivant l'utilisation que vous voudrez en faire.

Squash TM contient une base de données H2 pour le test. Pour utiliser Squash en production, vous devez connecter Squash TM à une base de données MariaDB ou PostgreSQL. Utiliser une base de données MariaDB Étape 1 : Configurer MariaDB Créez une nouvelle base de données encodée au format UTF-8 pour Squash TM et donnez tous les droits sur cette base de données à un utilisateur : CREATE DATABASE IF NOT EXISTS squashtm CHARACTER SET utf8 COLLATE utf8_bin; CREATE USER 'squash-tm'@'localhost' IDENTIFIED BY 'my_password'; GRANT ALL ON squashtm.* TO 'squash-tm'@'localhost'; FLUSH PRIVILEGES; Créez un utilisateur avec les droits suivants : select/insert/update/delete/create temporary tables. Vérifiez les informations suivantes dans le fichier de configuration MariaDB (my.cnf ou my.ini) : default-storage-engine = InnoDB max_allowed_packet=X (X est la taille autorisée maximum des pièces jointes de Squash. Par défaut, l’application est paramétrée sur 2Mo, soit X=2M) Redémarrez MariaDB Étape 2 : Remplir la base de données Squash TM Pour remplir la base de données que vous venez de créer, utilisez le script 'mysql-full-install.sql' qui se trouve dans le répertoire 'database-scripts/' du package Squash TM (l’administrateur de la base de données qui exécute le script doit avoir les SUPER privilèges) Étape 3: Configurer Squash TM pour utiliser la base de données MariaDB Modifiez les paramètres suivants dans le fichier de démarrage : DB_TYPE=mysql DB_URL=jdbc:mysql://localhost:3306/squashtm DB_USERNAME=squash-tm DB_PASSWORD=my_password Vous pouvez utiliser l'utilisateur créé plus haut avec les droits select/insert/update/delete/create temporary tables sur la base. Étape 4 : Lancer Squash TM Redémarrez Squash TM Connectez-vous à Squash TM avec le login par défaut de l’administrateur admin/admin Utiliser une base de données PostgreSQL Étape 1 : Configurer PostgreSQL Assurez-vous que les extensions plpgsql et uuid-ossp sont disponibles avec votre installation de PostgreSQL, en vérifiant qu'elles apparaissent lorsque vous lancez la commande select * from pg_available_extensions;. Rapprochez-vous de votre administrateur de base de données si ce n'est pas le cas. Créez une nouvelle base de données au format UTF-8 pour Squash TM et donnez tous les droits sur cette base de données à un utilisateur : CREATE DATABASE squashtm WITH ENCODING='UTF8'TEMPLATE = template0; CREATE USER "squash-tm" WITH PASSWORD 'my_password'; GRANT ALL PRIVILEGES ON DATABASE squashtm TO "squash-tm"; Étape 2 : Remplir la base de données Squash TM Pour remplir la base de données que vous venez de créer, utilisez le script postgresql-full-install.sql qui se trouve dans le fichier database-scripts/ du package Squash TM (l’administrateur de la base de données qui exécute le script doit avoir les privilèges SUPER USER) Étape 3 : Configurer Squash TM à utiliser la base de données PostgreSQL Modifiez les paramètres suivants dans le fichier de démarrage : DB_TYPE=postgresql DB_URL=jdbc:postgresql://localhost:5432/squashtm DB_USERNAME=squash-tm DB_PASSWORD=my_password Étape 4 : Lancer Squash TM Redémarrez Squash TM Connectez-vous à Squash TM avec le login par défaut de l’administrateur admin/admin

Configuration minimale et recommandée : Pré-requis : Système d’exploitation : tout système en mesure de faire tourner une JVM. Environnement d'exécution Java : JRE 8 ou JRE 11. Java 11 est incompatible avec le plugin SAML. Les JDK 8 et 11 sont compatibles et supportés avec Squash TM. Une JVM Hotspot est recommandée, OpenJ9 peut fonctionner dans certains cas mais n'est pas officiellement supporté (à partir de la version 1.17 de Squash TM, il est obligatoire d'utiliser Java 8, Java 7 n'est plus supporté). Serveur applicatif : aucun (la distribution de Squash TM embarque son propre serveur applicatif : Tomcat) Base de données : MariaDB 10.5, PostgreSQL 9.6+ (Squash TM est livré avec une base embarquée (H2) utilisable à des fins d’évaluation. Nous déconseillons son utilisation dans un contexte de production.) Composants recommandés : - Debian Buster - MariaDB 10.5 - Mantis 2.18.x+, Jira 7 (plugin payant REST) - Apache (frontal web)

Les versions 2021-07 de Squash AUTOM et Squash DEVOPS sont disponibles. Elles ajoutent le support de UFT* et de SKF. Unified Functional Testing* de Micro Focus, anciennement QTP, QuickTest Professional, permet le test au niveau interface utilisateur d’applications natives, Web ou mobiles. (Il permet aussi le test de services Web, mais ceci n’est pas encore supporté par Squash AUTOM / Squash DEVOPS.) Squash Keyword Framework, anciennement Squash TA, est un framework de test orienté mots-clés. Il peut piloter JUnit pour des tests unitaires ou d’intégration, Sahi et Selenium pour tester des applications Web, SoapUI pour tester des services Web. Il peut également valider des fichiers XML ou des fichiers textes à largeur fixe, valider ou manipuler les données de bases de données relationnelles… Pour rappel, Squash AUTOM permet le lancement de tests automatisés à partir de Squash TM, puis d’accéder à leurs résultats, ainsi qu’à l’historique de ceux-ci. Squash DEVOPS sert à intégrer, dans un pipeline d’intégration continue / déploiement continu, la récupération d’un plan de test défini dans Squash TM, son exécution et la remontée des résultats dans Squash TM pour consultation et historisation. Pour plus de détails, consultez nos pages Produits dédiées à Squash AUTOM et Squash DEVOPS. UFT et SKF s’ajoutent aux technologies déjà supportées par Squash AUTOM et Squash DEVOPS : Ranorex* : test d’applications Web, mobile ou desktop Agilitest* : test d’applications Web, mobile ou Windows ; test de Web Services Cypress : test d’applications Web Robot Framework : framework générique de test piloté par mots-clés et pouvant être intégré à de nombreux outils de test : Selenium pour tester une application Web, Appium pour une application mobile, White pour une application Windows, Swing/SWT pour une application Java… Cucumber : exécution de tests BDD (behavior-driven development, programmation pilotée par le comportement), peut être intégré avec Selenium pour des tests Web, Appium pour des tests mobiles… SoapUI : test de Web Services JUnit : framework principalement destiné aux tests unitaires et tests d’intégration, mais qui peut être utilisé en combinaison avec d’autres outils (Selenium, Appium…) pour des tests fonctionnels * disponible uniquement dans la version Premium. L'ensemble des composants de Squash AUTOM et ceux de Squash DEVOPS sont téléchargeables depuis notre page Téléchargements. A partir de cette version 2021-07, de nouvelles versions de Squash AUTOM et Squash DEVOPS seront disponibles mensuellement, les deuxièmes mercredis de chaque mois, sauf en août en raison des congés estivaux. Elles seront nommées sous la forme AAAA-MM. Chaque version est constituée d’un ensemble de composants ayant leurs propres numéros de version, ceux-ci sont visibles sur notre page Téléchargements ou dans les Release notes par version.